En se promenant au Salon Casse-Noisette, j’ai découvert un
monde irréel rempli de poupées.
Étant petite, je n’ai jamais joué avec des poupées. Je ne
sais pas pourquoi. J’ai préféré aller jouer dehors avec mes amis ou lire des
livres quand je ne pouvais pas aller dehors.
En grandissant ce sont les livres qui ont gagné ma préférence alors que
celui des poupées et des fantaisies du genre « belles-au-bois-dormant » restait
toujours pour quelque chose d’imaginaire et sans intérêt. Quand j’ai eu ma
fille, je me demandais toujours, avec quelques craintes, quand elle va me
demander jouer avec elle aux Barbies ! C’est avec surprise et à mon grand
soulagement, elle ne m’a jamais été très attirée par ces créatures et qu’au
surplus elle ne m’a jamais demandé d’y jouer avec elle. Ouf !...
Mais la vie, vous savez…. Bref, vous savez il ne faut jamais
dire jamais. Aujourd’hui, rendue adulte je ne suis pas capable passer à côté
des poupées fabriquées à la main et vêtues de beaux vêtements avec plein de
dentelles, de tricot, de soie, de ceci, de cela et de tous ces petits rien qui
à la fin vous font perdre la tête. Je n’oublierai jamais quand à Venise j’ai
failli rater mon train en trouvant par pur hasard (comme d’ailleurs, il faut
faire dans cette ville) un atelier qui confectionne des poupées. Mais ça, c’est
une autre histoire…
Pour revenir à ma découverte.
Ça s’appelle «Brownstone Playhouse». La créatrice
Milady Hartmann crée non pas une poupée, non pas deux, mais un monde incroyable
regroupant des poupées de cultures différentes avec de minuscules accessoires,
des meubles et plusieurs objets créés par son imagination sans limites. J’aime
beaucoup.
Elle a aussi créé une collection exclusive consacrée au
50-ième anniversaire du ballet « Casse-Noisette » au Canada. Et j’ai hâte
de voir sa collection Vénitienne fait pour l’exposition au Musée des Beaux-Arts
à Montréal.
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